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No Justice No Peace
No Justice No Peace
Sur un fond gris neutre, le tag s'impose avec une urgence palpable. Les couleurs vives - orange fluo et jaune acide - crient l'alerte, comme des signaux d'alarme visuelle qui transpercent la toile. Le contraste violent entre ces teintes saturées, presque agressives, et le noir profond de l'écriture taguée traduit la tension sociale qui traverse notre époque. Cette palette n'est pas un choix esthétique gratuit : elle évoque les panneaux de danger, les gilets de sécurité, tout ce qui signale l'urgence et le péril imminent.
L'écriture gestuelle, spontanée et énergique, rappelle les murs des manifestations, ces espaces où s'exprime la colère légitime face aux inégalités. Le geste du tag, rapide et instinctif, porte en lui la révolte et la nécessité de faire entendre sa voix. Car sans justice, point de paix possible. Cette formule, devenue cri de ralliement universel, résonne à travers les luttes sociales du monde entier.
Cette œuvre interroge le cycle infernal de la violence : celle, invisible et systémique, que subissent les plus vulnérables au quotidien - mal-logement, précarité, discriminations - et celle, spectaculaire et médiatisée, qui en découle comme un retour de bâton. La violence sociale engendre la violence tout court, dans un enchaînement dont notre société peine à sortir.
Le message est clair : tant que l'injustice sociale persistera, la paix restera illusoire. Cette toile de 20x20 cm, petit format à l'impact visuel puissant, est à la fois un constat lucide et un appel pressant - une sonnette d'alarme plastique pour que justice soit enfin rendue.
Détails :
Résine acrylique, peinture aérosol et marqueur acrylique sur toile de lin
Taille : 20 × 20 × 2 cm
Poids : 0,5 kg
Cadre fourni avec l’œuvre !
Certificat d’authenticité
Éviter l’exposition au soleil
Livraison avec assurance gratuite !
Retour accepté sous 7 jours
No Justice No Peace
Sur un fond gris neutre, le tag s'impose avec une urgence palpable. Les couleurs vives - orange fluo et jaune acide - crient l'alerte, comme des signaux d'alarme visuelle qui transpercent la toile. Le contraste violent entre ces teintes saturées, presque agressives, et le noir profond de l'écriture taguée traduit la tension sociale qui traverse notre époque. Cette palette n'est pas un choix esthétique gratuit : elle évoque les panneaux de danger, les gilets de sécurité, tout ce qui signale l'urgence et le péril imminent.
L'écriture gestuelle, spontanée et énergique, rappelle les murs des manifestations, ces espaces où s'exprime la colère légitime face aux inégalités. Le geste du tag, rapide et instinctif, porte en lui la révolte et la nécessité de faire entendre sa voix. Car sans justice, point de paix possible. Cette formule, devenue cri de ralliement universel, résonne à travers les luttes sociales du monde entier.
Cette œuvre interroge le cycle infernal de la violence : celle, invisible et systémique, que subissent les plus vulnérables au quotidien - mal-logement, précarité, discriminations - et celle, spectaculaire et médiatisée, qui en découle comme un retour de bâton. La violence sociale engendre la violence tout court, dans un enchaînement dont notre société peine à sortir.
Le message est clair : tant que l'injustice sociale persistera, la paix restera illusoire. Cette toile de 20x20 cm, petit format à l'impact visuel puissant, est à la fois un constat lucide et un appel pressant - une sonnette d'alarme plastique pour que justice soit enfin rendue.
Détails :
Résine acrylique, peinture aérosol et marqueur acrylique sur toile de lin
Taille : 20 × 20 × 2 cm
Poids : 0,5 kg
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