« Peace of shit »
Sur un fond blanc écru progressivement souillé, des gestes agressifs se superposent en diagonales anarchiques. Orange vif, noir profond, vert acide et jaune fluo s'entremêlent dans un chaos gestuel sans ordre ni hiérarchie. La résine en relief accentue la tension physique de chaque trait, comme des décharges d'énergie brute jetées sur la toile.
Les couleurs évoquent l'urgence du monde contemporain : orange des alertes et des incendies, vert des toxicités, noir des décombres, jaune criard des avertissements ignorés. Le fond blanc, censé symboliser la pureté ou la trêve, est écorché par des écritures compulsives et illisibles, traces d'une parole qui ne parvient plus à s'articuler clairement.
Le titre joue sur l'homophonie anglaise entre "peace" (paix) et "piece" (morceau), transformant l'expression "piece of shit" en "peace of shit". Une paix de merde, donc. Celle qui s'impose après les guerres, avec ses contraintes inégales, ses injustices, ses compromis bancals. Une paix qui n'en est pas vraiment une, vécue dans un climat de ségrégation généralisée qui empêche tout sentiment véritable d'apaisement.
L'œuvre interroge : quelle valeur a une paix construite sur des ruines encore fumantes, imposée plutôt que partagée ?
Détails :
Résine acrylique, peinture aérosol et marqueur acrylique sur toile de lin
Taille : 20 × 20 × 2 cm
Poids : 0,500 kg
Cadre fourni avec l’œuvre !
Certificat d’authenticité
Éviter l’exposition au soleil
Livraison avec assurance gratuite !
Retour accepté sous 7 jours
« Peace of shit »
Sur un fond blanc écru progressivement souillé, des gestes agressifs se superposent en diagonales anarchiques. Orange vif, noir profond, vert acide et jaune fluo s'entremêlent dans un chaos gestuel sans ordre ni hiérarchie. La résine en relief accentue la tension physique de chaque trait, comme des décharges d'énergie brute jetées sur la toile.
Les couleurs évoquent l'urgence du monde contemporain : orange des alertes et des incendies, vert des toxicités, noir des décombres, jaune criard des avertissements ignorés. Le fond blanc, censé symboliser la pureté ou la trêve, est écorché par des écritures compulsives et illisibles, traces d'une parole qui ne parvient plus à s'articuler clairement.
Le titre joue sur l'homophonie anglaise entre "peace" (paix) et "piece" (morceau), transformant l'expression "piece of shit" en "peace of shit". Une paix de merde, donc. Celle qui s'impose après les guerres, avec ses contraintes inégales, ses injustices, ses compromis bancals. Une paix qui n'en est pas vraiment une, vécue dans un climat de ségrégation généralisée qui empêche tout sentiment véritable d'apaisement.
L'œuvre interroge : quelle valeur a une paix construite sur des ruines encore fumantes, imposée plutôt que partagée ?
Détails :
Résine acrylique, peinture aérosol et marqueur acrylique sur toile de lin
Taille : 20 × 20 × 2 cm
Poids : 0,500 kg
Cadre fourni avec l’œuvre !
Certificat d’authenticité
Éviter l’exposition au soleil
Livraison avec assurance gratuite !
Retour accepté sous 7 jours
